2000/2001 : début suivi pilote OSPAR
en 2006 : entrée d e l a France dans le dispositif (en Normandie, associations Aquacaux et Estran) mais de façon discontinue. Arrêté en 2007 et repris en 2009
2009 : Entrée Parc Naturel Marin d’Iroise - PNRI)
2010 et 2011 : Renforcement par des associations agissant dans le périmètre du parc d'IROISE(PNTI)
Extension et harmonisation necessaire dans les autres SRM
La majeure partie des sites OSPAR actuellement actifs se situent dans le Finistère, et 2 en Normandie. Certains d’entre eux seront intégrés dans le dispositif DCSMM.
De nombreux autres sites sont à identifier de façon à assurer une couverture géographique nationale cohérente : c’est notamment le cas pour GdG, MM et à moindre mesure en MC et MMN.
Les données sont collectées sur le terrain, selon un protocole défini (OSPAR), et de façon répétée (selon une fréquence non encore arrêtée pour la DCSMM). Certains sites OSPAR pourront être repris pour la DCSMM. La collecte des données est realisée dans certains cas sur la base du volontariat (associations).
Les observations sont réalisées ;
• sur les mêmes sites répartis le long du littoral des 4 régions sous marines (nombre et localisation non encore arrêtés), en les mêmes portions de plage (100 m et éventuellement 1 km) géoréférencées
• par les mêmes observateurs (ou producteurs) bien identifiés (appartenant à une association ou un organisme institutionnel).
- Qualité des données : Potentiellement bonne mais dépend de la précision du producteur (notamment pour la collecte -ou pas- des petits déchets (< 2.5 cm), et -plus rarement quand même- pour l’identification elle-même).
- Validation (non pas de la donnée elle-même mais sous la forme de la vérification d’absence d’aberration ou d’incohérence) par le coordinateur national OSPAR (i.e. le CEDRE).