Effectifs de collisions de grands cétacés dans les différentes sous-régions marines françaises
Ce jeu de données rassemble les cas de collisions de grandes baleines (rorquals et cachalots) avec des navires. Dans la plupart des cas, les animaux ont été retrouvés échoués le long des côtes des différentes SRM, avec des traces d'impact avec des bateaux (hématomes, fractures, parfois même traces de peinture). Pour d'autres cas (plus rares), les cétacés ont été ramenés morts sur le bulbe des bateaux ou encore dans les stabilisateurs. Les effectifs ont été rassemblés par pas de temps de 6 ans.
Date(s) Date(s) |
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Contact(s) Contact(s) |
Hélène Peltier
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UMS PELAGIS
)
UMS PELAGIS Michele Salaun ( UMS PELAGIS ) |
Source Source |
UMS PELAGIS |
Lineage Généalogie |
Les données utilisées sont les données d’échouages de cétacés le long des SRM GDG, MC et M-mdN. Elles sont collectées depuis 1970 par les réseaux d’échouages français et britanniques. En France les données sont collectées par un ensemble de plus de 400 correspondants, bénévoles ou salariés de structures associatives ou gouvernementales sur l'environnement. Ils sont formés par l'observatoire Pelagis, et appliquent un protocole standardisé décrit dans Van Canneyt et al., 2015 (disponible à l'adresse http://www.observatoire-pelagis.cnrs.fr/publications/ouvrages/Guide-des-echouages). L’ensemble du jeu de données élémentaires d’échange français est disponible sur le site OBIS SEAMAP (Dabin, 2016; Halpin et al., 2006). Ce jeu de données est issu de la base appelée BDD Echouages (base de données développée et administrée par l'UMS 3468 BBEES) et il rassemble les données d'échouages de mammifères marins issues du RNE. Ce programme national correspond à la plus longue série historique sur ces espèces en France. Il permet de suivre de nombreux paramètres en plus de la diversité et de la distribution, comme des paramètres démographiques, écologiques, et sanitaires. Les données sont ensuite validées et saisies dans une base de données Xataface administrée par l'Observatoire Pelagis et l'UMS BBEES. La période couverte s’étend de 1970 à 2015. Les cas de collision sont identifiés par un examen externe (hématomes massifs, rupture de la colonne vertébrale, surtout en zone dorsale, parfois même traces de peinture du bateau...) et interne (fractures, hématomes infiltrant les tissus sous-cutanés...). Ce diagnostic nécessite un état de décomposition frais à modéré, et un examen détaillé des carcasses. Dans certains cas, les animaux sont signalés et/ou rapportés sur le bulbe du bataeu ayant engendré la collision. |
Constraints Contraintes |
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Spatial informations Informations géographiques |
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